Parce qu’il fait froid et qu’il n’y a aucun mal à cocooner chez soi avec un film réconfortant, un plaid et quelques suavités à portée de main. Mais quels films ? Avec qui ? Comment ? Petite sélection par nos soins, en toute subjectivité.
Voici notre première fournée : « Avec les enfants ».
À suivre : « Après la dinde (avec le digeo et la belle-mère) », « Après une engueulade en famille » et « Sous la couette, en mode régressif ».
L’Histoire sans fin
de Wolfgang Petersen
Pour l’incitation au rêve, pour la foi dans le pouvoir de l’imaginaire. Et pour la tortue géniale (« Ça n’a pas d’importance, mais… oui. Atchoum ! »).
Les Aristochats
de Wolfgang Reitherman
Pour le trait de crayon apparent, pour les oies anglaises, pour cette crapule d’Edgar, pour Roquefort, l’adorable souriceau et pour la BO revigorante.
Les Aventures de Tintin, le secret de la licorne
de Steven Spielberg
Parce qu’il est à mi-chemin entre Le Lac aux requins et La Dernière Croisade, et qu’il n’y a que chez Spielberg qu’on peut voir Gad Elmaleh converser avec Daniel Craig.
Zootopie
de Byron Howard et Rich Moore
Pour apprendre aux gamins les valeurs de l’amitié et du végétarisme.
Once Upon a Time
Série crée par Adam Horowitz et Edward Kitsis
Parce qu’on peut faire du contemporain avec les contes et légendes traditionnels.
L’Étrange Noël de Mr Jack
de Tim Burton
Parce que “what else” ?
Retour vers le futur
de Robert Zemeckis
Pour le voyage dans le temps, les poursuites en hoverboard et les guitares électriques.
Cendrillon
de Wilfred Jackson
Parce que Cendrillon est gracieuse, que sa belle-mère est une garce, qu’il y a du suspense, et que c’est un conte de fées, un vrai.
Là-haut
de Pete Docter et Bob Peterson
Pour la longue séquence du début où l’on pleure toutes les larmes de son corps. Et pour tout ce qui suit, aussi.
La Forêt de l’Étrange
série créée par Patrick McHale
Parce qu’on a beau chercher, on ne trouve pas de série animée qui se prête mieux au « combo » : couette et chocolat chaud.
E.T.
de Steven Spielberg
Parce qu’on rit et qu’on pleure. Pour la scène d’Halloween où E.T. est déguisé en fantôme, croit voir des copains et prend la tangente, et pour la séquence où E.T. se cache parmi les ours en peluche dans le placard et où la mère, cette bécasse, n’y voit que du feu.
Ponyo sur la falaise
de Hayao Miyazaki
Pour le si craquant poisson rouge à visage humain.
Harry Potter
de Chris Columbus, Alfonso Cuarón, Mike Newell et David Yates
Parce qu’il est touchant de voir grandir les acteurs à l’écran, et que les mômes adorent (attention à la noirceur des derniers épisodes pour les plus petits…).
La Belle et le Clochard
de Hamilton Luske
Pour le côté cosy de la scène de Noël au début, pour les péripéties et les grands yeux de Belle.
La Belle et la Bête
de Jean Cocteau
Pour le merveilleux, la poésie, les chandeliers vivants du château de la Bête.
Qui veut la peau de Roger Rabbit ?
de Robert Zemeckis
Pour les cinq fouines à la solde du Juge DeMort alias Christopher Lloyd, et pour Jessica Rabbit, qui n’est pas « mauvaise », mais a juste été dessinée comme ça.