Rendel, le premier film de super-héros finlandais

Oubliez Suicide Squad, Civil War et Batman v Superman

Comment choisir entre la #TeamCap et la #TeamIronMan ; entre #Batman et #Superman ?

Afin d’éviter la confrontation et de couper court à la réflexion, j’ai opté pour une troisième solution ; une sorte d’alternative des lâches : la #TeamRendel !

Rendel est comme qui dirait le premier film de super-héros finlandais. Et Rendel vient de poser ce que vous savez sur la table basse du Web, avec son tout nouveau trailer.

Juste avant d’entrer en tournage en 2015, et de la même manière qu’un Mad Max : Fury Road, le film a reçu un gros coup de pouce de sa production. Encouragés par l’engouement suscité par le film, Black Lion Pictures et Frozen Flame Pictures (des noms de boîtes de prod. qui annoncent très clairement la couleur du bousin) ont rajouté quelques billets avec un seul mot d’ordre : il fallait plus de guns, plus d’explosions et plus de baston.

Suite à quoi, le film n’a pas simplement été « modifié » comme le dernier George Miller, mais totalement rebooté. Trop de nouvelles choses étaient possibles, le budget le permettant.

« To be honest, almost everything has changed since pre-production. »

Aux oubliettes l’ancienne bande-annonce diffusée courant 2015, Rendel a fait peau neuve et s’apprête à sortir en salle en 2016, voire 2017 : il arrive ; avec les poches pleines d’oseille et des promesses plein la gueule.

La seule chose ayant survécu à toutes les étapes de production, c’est le pitch de départ : sur une idée du réalisateur Jesse Haaja, Rendel est un conte bien sale sur une histoire de vengeance masquée. À mi-chemin entre Darkman, Deadpool et le surprenant John Wick.

Rendel Super-héros Finlande Jesse Haaja Spawn Marvel

Arborant un look proche du Zoom de The Flash et laissant présager une histoire assez similaire à celle d’un Spawn (qui, alléluia, aura prochainement droit à un remake par son propre créateur Todd McFarlane), il faudra malheureusement attendre pour en (sa)voir davantage sur le personnage.

Bref, pour l’instant, entre un patriote en collants bleus, un alcoolique en plastique rouge et les deux bodybuilders en lycra de chez DC, un psychopathe finlandais en Perfecto et à la tronche calcinée ne me parait pas être une si mauvaise option.