The Revenant : l’ombre de Tarkovski

C’est une œuvre d’une puissante inouïe : en sept long-métrages, produits entre 1962 et 1986 (L’Enfance d’Ivan, Andreï Roublev, Solaris, Le Miroir, Stalker, Nostalghia et Le Sacrifice), le cinéaste russe Andreï Tarkovski aura marqué les esprits durablement avec une œuvre esthétique, empreinte de mysticisme.

Hommage ou interférences mentales involontaires ? L’acte de création est un mystère en soi et il est fascinant d’observer, comme l’a fait le vidéaste Misha Petrick, la présence de l’œuvre de Tarkovski dans bon nombre de plans de The Revenant d’Alejandro González Iñárritu. Troublant, n’est-ce pas ?